en fait, les israéliens, qui ont ont suspendu la livraison d'aide humanitaire, expriment leurs conditions'un accord de trêve. l'issue viendra-t-elle d'un des pays arabes? l'egypte, médiatrice historique dans le dossier du proche-orient, a-t-elle les moyens de faire avancer la situation? le gouvernement israélien ne serait-il pas un frein? on va en parler avec agnès levallois, vice-présidente de l'institut de recherche et d'études méditerranée moyen-orient, auteur du "livre noir de gaza" aux éditions du seuil. concernant la tenue de ce sommet, il intervient alors que les palestiniens n'ont eu de cesse d'appeler le monde arabe à leur venir en aide. la solution peut-elle vraiment venir de là? - agnès levallois: je ne sais pas. en tout cas, on voit cette mobilisation des pays arabes qui est importante. ils ont pris donald trump au mot lorsque celui-ci, face à la levée de boucliers quand il a présenté son plan pour gaza, avait dit: "moi, au moins, j'ai l'avantage de présenter quelque chose. quiconque a une idée, présentez-la!" il y avait donc une possibilité de pouvoir travailler et réfléchir.