des palestiniens. c'est d'un cynisme absolu, quand on voit ce qui se passe dans la bande de gaza depuis 16 mois. - elisabethtiliser des mots pareils, alors que toute la stratégie déployée par israël dans cette guerre à gaza va bien au-delà de l'objectif affiché, qui était de démanteler le hamas. on voit que les armes utilisées visaient, non pas à détruire les infrastructures du hamas, mais à rendre le territoire "invivable", en détruisant bien au-delà de ce qui était nécessaire pour démanteler ce mouvement islamiste. il y a vraiment, là, une rhétorique qui se déploie sans aucune limite et sans filtre, en disant: "nous, on va être gentils et on va ouvrir les portes de gaza, qui étaient fermées à double tour depuis des années. aujourd'hui, on les ouvre." ce qui est clair dans la tête des israéliens, c'est que les palestiniens qui partiront ne pourront plus jamais revenir, comme ça avait été le cas en 948. - elisabeth allain: on a parlé du coût de la reconstruction, de ce plan égyptien. ca fait partie des gros doutes, des zones d'ombre: qui pour diriger tout cela? les egyptiens disent dans leur texte qu'ils vo

la reconstruction de la bande de gaza et la question du déplacement des palestiniens comme le souhaitece sans le hamas ni l'autorité palestinienne. pendant ce temps le fragile cessez-le-feu entre israël et le hamas est toujours en vigueur dans la bande de gaza. mais hier, le premier ministre israélien, benyamin nétanyahou, a menacé le hamas de conséquences "qu'il ne peut pas imaginer s'il ne relâche pas les otages israéliens retenus à gaza". le hamas accuse de son côté israël d'avoir violé le cessez-le-feu en décidant de suspendre l'aide humanitaire à gaza. - bagarre générale dans les couloirs du parlement israélien. les services de sécurité repoussent violemment des proches d'otages à gaza, les empêchant d'assister aux auditions sur les défaillances des services de sécurité lors de l'attaque