on peut estimer que vladimir poutine ne sera pas inquiété par ces droits de douane.nal. ca n'aura pas de conséquences majeures. la russie a déjà subi d'innombrables sanctions et s'est adaptée en se tournant vers ses alliés et en construisant une véritable économie de guerre centrée autour de la production d'armement. il n'y a aucune raison de penser que ces menaces fassent infléchir vladimir poutine. on peut penser que donald trump ne l'ignore pas et qu'il adresse un message à son électorat, parce que sondage après sondage, les électeurs républicains répètent que, pour eux, la russie reste un ennemi, contrairement à l'ukraine. ils ne voient pas d'un bon oeil ce rapprochement entre moscou et washington. ces nouvelles sanctions ne suscitent aucun enthousiasme côté ukrainien. volodymyr zelensky n'a même pas réagi à ce nouveau message du président américain. -aude lechrist: ca reste donc des menaces. on voit des images en direct de donald trump, qui est en train de s'exprimer. il n'y a pas de déclaration concernant l'ukraine, pour l'instant. on va revenir en images sur c

craignent des réticences, voire des oppositions des gouvernements hongrois et slovaques, proches de vladimir poutineient à ce que soit inclus dans les conclusions de ce sommet un plan proposé il y a un mois par la cheffe de la diplomatie européenne, kaja kallas. un plan qui prévoit l'envoi d'au moins 1,5 million de munitions à l'ukraine sur 1 an, ainsi que d'autres équipements militaires tels que des systèmes de défense antiaérienne, des missiles et des drones. mais dans les derniers projets de conclusion qui ont circulé ici, à bruxelles, ce plan n'est pas mentionné aussi clairement. emmanuel macron, hier soir, a reçu le premier ministre hongrois viktor orban pour tenter d'aligner sa position sur celle de l'europe. - david delos: merci, alix le bourdon, en direct de bruxelles. emmanuel macron a évoqué l'armée française, hier. une armée, ce sont des investissements, des armes, mais aussi des soldats. avec cette menace nouvelle, il faudra peut-être augmenter les effectifs et renforcer les rangs de l'armée de métier. une armée qui aura certainement besoin de réservistes. certains commencent même à imag

il estime que vladimir poutine est un impérialiste révisionniste. - emmanuel macron: s'il réagit commela chancelière merkel, les garants, par le processus de normandie, d'accords de minsk qu'il a délibérément violés. ensuite, je pense qu'il fait un contresens historique et ça m'étonne de lui. napoléon menait des conquêtes. la seule puissance impériale que je vois en europe s'appelle la russie, et c'est un impérialiste révisionniste. - philomé robert: s'agissant des négociations de paix, dont les européens, en l'état, ne veulent pas entendre parler, il en sera question cette semaine en arabie saoudite. une rencontre est prévue mardi entre washington et kiev, à riyad. objectif, selon steve witkoff, l'émissaire américain pour le proche-orient: définir un cadre pour un accord de paix et un cessez-le-feu initial. la délégation ukrainienne sera conduite par volodymyr zelensky, qui tente toujours d'arrondir les angles avec l'administration trump. ouvrons notre chapitre consacré à la guerre commerciale lancée par donald trump envers les principaux partenaires commerciaux des etats-unis. un mot

- pris en étau entre vladimir poutine et donald trumpt immédiat d'une ampleur qu'aucun d'entre nous n'a connue dans sa vie d'adulte. l'avenir d'une ukraine libre et souveraine et d'une europe en sécurité et prospère est en jeu. "ce jeudi, à bruxelles, ils auront donc la lourde tâche de trouver une réponse commune à la suspension de l'aide militaire américaine à kiev tout en assurant la sécurité et la défense du vieux continent. deux axes seront donc sur la table: un état des lieux de l'armement européen et des lacunes à combler